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Bio : quasi-doublement du fonds d'urgence
Le nouveau fonds d'urgence pour la bio est passé de 50 à 90 M€.
Rendez-vous le 7 septembre à L’Oisellerie pour les résultats.
Un temps pour parler viticulture charentaise 
La FNSEA 17 organise le 12 mars à Archiac un temps d'échange autour de la situation de la filière viticole, en présence du vice-…
Paul Frémont, président d'Apiviti, le 23 février 2023 à Mosnac-Saint-Simieux.
"Les abeilles ont un intérêt dans les vignes"
Apiviti, l'association d'apiculteurs et viticulteurs, poursuit son action en faveur des abeilles sur Mosnac-Saint-Simeux. Une…
Campagne de com' sur les bus niortais sur les formations maraîchage (2023).
Des cours plus hybrides en maraîchage
Un brevet professionnel ouvrira à la rentrée, intégrant plus de gestion qu'avant.
Les situations sont très différentes dans le département pour les semis.
Une situation très hétérogène dans les champs de Charente-Maritime
Si la douceur permet par endroits de compenser un peu les retards de semis, certains secteurs du département n'ont toujours pas…
Jean-Bernard de Larquier estime que le rachat de courvoisier par le groupe Camapri sera " un événement plutôt positif. Notre filière s'appuie sur un temps long qui fait sa force. Il nous faut donc être patients, résilients et modérés", a conclu le président.
Campari a des plans pour Grand Marnier et Bisquit & Dubouché
Les adhérents de la Sica Cognac ont eu droit lors de leur assemblée générale, à un point sur les engagements du Groupe…
Au démarrage, la formation prend le temps de développer le lien entre santé des plantes et du sol.
La Cavac crée une formation longue sur la fertilité des sols
À l'automne s'est déroulée la première session de la formation "Agriculture bio de conservation" de la Cavac. En neuf jours, les…
En une journée, 300 marcottes sont réalisées. « Bien que cela soit mécanisé, cela reste encore fatigant, mais beaucoup moins », concède Philippe Ancelin.
Le marcottage, avec « la machine à porbins »
Le marcottage à la main ? Très peu pour Philippe Ancelin ! Le viticulteur de Mons mécanise ce travail. Voilà maintenant cinq ans…