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Filière caprine
Une économie propice à la réflexion sur le temps de travail

Les rencontres des partenaires, organisées lundi 31 mai en visioconférence, ont réuni une centaine de personnes. Malgré la crise de la Covid-19, la filière caprine se porte bien. Les acteurs ont su se serrer les coudes pour faire face aux difficultés.

Chèvre, Caprin, Deux-Sèvres, élevage
L’association centrale des laiteries, au nom des coopératives, a ouvert une école de l’élevage. À Saintes, des jeunes sont formés. À travers un CQP, ils acquièrent les compétences nécessaires à un salarié de fermes d’élevage.
© A.F.

Pour la filière laitière comme pour la filière viande, l’année 2020 aura été une année atypique pour la production caprine. La crise sanitaire de la Covid-19 aura bousculé tous les repères, suscitant bien des inquiétudes. Les acteurs des filières - producteurs, interprofession, transformateurs, distributeurs - ont relevé leurs manches. Les outils de régulation ont été activés.

Côté lait, comme côté viande, l’année 2021 a commencé avec des marchés à l’équilibre, témoignaient lundi 31 mai les intervenants mobilisés par le Brilac à l’occasion des rencontres des partenaires de la filière caprine. La visioconférence, qui a mobilisé un peu plus d’une centaine de participants sur les deux régions que sont Nouvelle-Aquitaine et les Pays de la Loire, a été l’occasion de partager largement les enjeux des mois à venir.

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