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La production de broyés du Poitou a quasiment triplé pour répondre aux besoins américains. Le chiffre d'affaires annuel de ce contrat est estimé à 4 millions d'euros.
Les broyés du Poitou à la conquête des États-Unis
La Fabrique Cookies, qui a racheté Les Petits Amoureux à Ardin, il y a un an, vient de signer une commande importante avec une…
Le nouveau mécanisme doit permettre aux viticulteurs de garder une production d'eau-de-vie constante avec des coûts de production moindres via l'arrachage d'une partie de leurs vignes.
Un mécanisme d'adaptation pour tempérer la crise
Les réunions de secteur de l'UGVC ont débuté le 10 février pour présenter le mécanisme d'adaptation du vignoble validé par l'INAO…
Mickaël Turpeau et Steven Bertaud dans la salle de traite de l'exploitation.
La filière brebis laitière recrute et présente ses arguments
Fort d'un contrat avec un objectif de deux millions de litres annuels, la Cavac cherche à installer deux producteurs par an jusqu…
Amour et agriculture : les deux font-ils la paire ou l'impair ?
S'il est un domaine où le professionnel et le privé fonctionnent en vases communicants, c'est bien l'agriculture. Le métier est-…
Guillaume Juillet et son taureau Royan, 4 ans, 1250 kg. Le troupeau compte 65 vêlages, une SAU de 130 ha, pour 90 ha de SFP en pâturage tournant.
Royan et Toronto, les blonds deux-sévriens à Paris
Le seul deux-sévrien qualifié pour le concours CGA Blondes d'Aquitaine emmènera deux taureaux : l'un né sur l'élevage, l'autre…
Raphaël Marquet et Titenoisette, génisse bazadaise de trois ans.
La Bazadaise Titenoisette au CGA pour représenter le sud Deux-Sèvres
Après sa victoire à Cournon, la génisse bazadaise du tout jeune élevage de Magnantru s'est qualifiée pour Paris.
La retraite pour Nathalie
Florent Morillon a présenté les vœux de l'interprofession le 30 janvier à Jarnac.
BNIC : le réalisme s'impose à tous
En attendant le feu vert des organismes nationaux pour le plan d'adaptation du vignoble, l'Interprofession se montre plus…
" Le dialogue a encore sa place "
Malgré ses craintes sur les volumes d'eau des années à venir, le président Jean-Luc Audé priorise le consensus politique.