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Bien-être animal
La nomination d’un référent BEA ne séduit pas les éleveurs

La nouvelle règle est loin de faire l'unanimité.

© DR

Déjà bien fournie en sigles, l’agriculture française en compte un nouveau depuis le 1er janvier. BEA, pour « bien-être animal » va en effet être prononcé à de nombreuses reprises dans les prochains jours dans tous les élevages (voir Agri 79 du 21 janvier). « J’ai appris cette obligation en fin d’année dernière à travers des articles de presse », explique Céline Bois. L’éleveuse de porcs installée à Antran (86) regrette n’avoir pas été officiellement informée et reste donc dans le flou. « Je me dis que quoi qu’il arrive, c’est le propriétaire de l’exploitation qui est responsable de ce qui se passe dans son élevage ».

Et l’agricultrice de se demander si cette désignation n’est pas une façon de reporter les obligations de contrôle de l’administration vers les élevages. « Nous avons déjà régulièrement des visites de l’administration qui vérifie que nos élevages appliquent la réglementation, y compris pour le bien-être animal ».

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