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Cap protéines
Caprin : améliorer l’autonomie protéique

Plusieurs programmes visent à améliorer l’autonomie protéique de la France, dont Cap protéines pour les filières ruminants. Les élevages caprins sont particulièrement concernés avec seulement 47 % d’autonomie protéique en moyenne, contre 70 % en bovin lait.  

Les aliments représentent la moitié des charges d’un atelier caprin.
© CIA 17-79

Le plan de relance protéines a pour objectif de réduire la dépendance de la France aux importations, améliorer l’autonomie alimentaire des élevages et développer une offre locale de légumes secs type pois chiches, lentilles, etc. Les exploitations caprines sont très concernées par la hausse des prix des aliments achetés, qui représentent la moitié des charges de l’atelier. Au-delà de l’intérêt conjoncturel qui pousse la France à vouloir être moins dépendante des importations, l’intérêt économique des exploitations à être plus autonome est important.

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