Aller au contenu principal

Rendre abordables les plats des chefs étoilés

Il va falloir patienter un an, mais les amateurs de gastronomie vont adorer Festifood. Ce festival, créé en 2020 en Belgique, permet de manger des plats proposés par des chefs étoilés ou de renom pour une somme peu importante (12 euros lors des éditions en Belgique). "Le principe, c'est de rendre abordable l'inabordable" explique Jean-Noël Delaunois, directeur du Festifood. Et le concept va être dupliqué dans la Vienne, dans le domaine viticole de Paon Perché, à Jaunay-Marigny. "On s'engage pour trois ans, et les viticulteurs seront également présents dans les festivals en Belgique". Car pour accompagner les plats, ce sont des vins qui sont proposés. Ce tout premier Festifood en France devrait se tenir durant deux week-ends, entre le 15 juillet et le 15 août. L'entrée y sera gratuite, et chacun des 5 chefs présents proposera aux visiteurs un plat, qui sera dégusté à table. En plus de la restauration, un marché de producteurs sera proposé, ainsi que des animations. "Nous essaierons aussi de travailler avec les écoles hôtelières locales". Si le nom des chefs qui seront présents n'est pas encore connu, Jean-Noël Delaunois assure avoir déjà reçu de nombreuses demandes. "Il y aura au moins 1 chef 3 étoiles, et on souhaite qu'il y ait des chefs locaux". Parmi les habitués du festival, on compte notamment Arnaud Delvenne, chef belge, finaliste de Top chef. Les chefs présents pourraient être différents durant les deux week-ends. Et alors que ce festival attire chaque année entre 20 000 et 60 000 personnes dans chacune des éditions en Belgique, l'objectif pour cette première version française est de faire venir 15 000 convives. Et pourquoi dupliquer le festival dans d'autres régions en France. Un festival qui réjouit évidemment German Mulet et Valentin Ramel, les dirigeants du Paon Perché. "C'est aussi une façon de mettre le vin à l'honneur, puisque ce sont des vins qui seront proposés avec les plats" explique German Mulet. "Notre objectif, au domaine, c'est toujours de faire des bons produits, tout en respectant la nature".

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

Canicule : les récoltes interdites entre 14h et 19h en Charente-Maritime

Face aux risques de départ de feu, un arrêté vient d'être pris par le Préfet de la Charente-Maritime afin de limiter les…

Bernard Chauvet, maire de Jazeneuil et président du Sivos et Jean-Louis Ledeux, maire de Lusignan et chargé des finances du Sivos.
Des fermetures d'écoles désormais programmées
C'est une nouvelle méthode de travail qui s'opère dans la Vienne autour des écoles. Le rectorat travaille avec les collectivités…
Clémence Emery prépare la finale du concours de reconnaissance des végétaux au lycée de Thuré.
La finale du concours de reconnaissance des végétaux en ligne de mire
Ils étaient 100 à concourir et ils ne sont plus que 5 qualifiés pour la finale du Concours national de reconnaissance des…
FNSEA, CR, JA et Adiv ont rencontré le Préfet pendant plus de deux heures.
Eau : les tensions montent d'un cran

À quelques jours de la mobilisation de Bassines Non Merci à Poitiers, mais aussi du bureau du Sage Clain, pendant lequel sera…

Le Préfet de la Vienne se positionne pour le stockage de l'eau

A quelques heures d'une manifestation de Bassines Non Merci, le Préfet de la Vienne a publié un argumentaire dans lequel il…

Patrick Mounier (à gauche) et Serge Lebrun, nouveaux président et vice-président de la MSA des Charentes.
Patrick Mounier, nouveau président de la MSA des Charentes

Suite aux élections de la MSA des Charentes en mai, un conseil d'administration s'est tenu ce jeudi 19 juin à Jonzac. Patrick…

Publicité