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Que se passe-t-il dans les GNR livrés en ferme en Deux-Sèvres ?

Deux exploitants deux-sévriens se sont vu livrer ces derniers mois du GNR impropre à la consommation par deux fournisseurs différents. Les tests excluent leur responsabilité, mais la facture n'en reste pas moins à leur charge. Et il est quasiment impossible de retrouver le responsable.

Les tests effectués chez les deux exploitants ont révélé un carburant non utilisable, l'un pour cause de la présence de bactéries, l'autre du fait de la forte proportion d'eau (17%) alors que le test de pâte à eau s'était révélé négatif.
Les tests effectués chez les deux exploitants ont révélé un carburant non utilisable, l'un pour cause de la présence de bactéries, l'autre du fait de la forte proportion d'eau (17%) alors que le test de pâte à eau s'était révélé négatif.
© DR

C'est le pot de terre contre le pot de fer : voilà comment deux agriculteurs deux-sévriens analysent la situation, après avoir réceptionné une livraison de GNR au printemps. Les matériels qui ont reçu le gazole dans la foulée sont tombés en rade rapidement après leur utilisation. Si certains matériels n'ont eu besoin que de simples filtres à changer, pour les autres, les frais ont été beaucoup plus importants.

Les préjudices sur les pompes à injection et les injecteurs sont conséquents. Des frais mécaniques auxquels il faut rajouter le coût du GNR inutilisable, les analyses à mener et autres dépenses annexes, sans compter l'immobilisation des véhicules en pleine période de travail. Des problèmes similaires alors que les deux exploitants sont passés par des fournisseurs différents et ont été livrés à un mois et demi d'intervalle. Une situation qui interroge.

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