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Le GDS 16 à l’écoute des éleveurs

Un peu boudé par les éleveurs qui méconnaissent les avantages à en tirer, le site internet du GDS Poitou-Charentes attend sa prochaine cure de jouvence. Néanmoins, il est régulièrement mis à jour, et il propose même un espace dédié aux éleveurs pour y consulter leurs résultats d’analyses.

Jacques Jeauffreau, le directeur des GDS 16 et 17, veut transformer la perception qu’ont les éleveurs du site internet, un véritable outil selon lui.
Jacques Jeauffreau, le directeur des GDS 16 et 17, veut transformer la perception qu’ont les éleveurs du site internet, un véritable outil selon lui.
© M.L.L.

Guide des bonnes pratiques sanitaires, bulletin épidémiologique ou encore « foire aux questions », le site internet du Groupement de défense sanitaire de l’ex-Poitou-Charentes (commun à la Charente, la Charente-Maritime, les Deux-Sèvres et la Vienne) regorge d’informations à destination des éleveurs bovins, caprins et ovins. Une particularité passe pourtant encore inaperçue aux yeux de certains : un « espace éleveur » privé, accessible grâce à un identifiant et un mot de passe, mis en place depuis 2014. Le laboratoire d’analyses Qualyse (pour les GDS 79, 17 et 86) et le laboratoire départemental d’analyses de Charente (pour le GDS 16) déposent sur cet espace dédié les résultats d’analyses propres à chaque éleveur.

« C’est un gain de temps pour consulter ses résultats en temps réel sans attendre le courrier, justifie Jacques Jeauffreau, le directeur des GDS 17 et 16. L’objectif premier était d’inciter les éleveurs à se rendre sur le site internet, pour qu’ils le considèrent comme un véritable outil. »
Pourtant, cet accès est encore trop méconnu, comme l’a relevé Jean-Bernard Sallat lors de l’assemblée générale du GDS 16 qui s’est déroulée mardi 13 avril. « Ce serait peut-être utile de communiquer davantage sur cet espace, également via la Chambre d’agriculture. Je ne suis pas persuadé que tous les éleveurs sont au courant de son existence, moi le premier, en toute honnêteté. »

Retrouvez la suite de l'article dans La Vie Charentaise du vendredi 23 avril 2021, disponible en kiosque et sur abonnement.

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