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Salon régional de l'agriculture
L'amour de l'élevage

Le Salon de l’Agriculture Nouvelle-Aquitaine est l’occasion pour la profession d’insister sur l’aspect humain et la relation forte reliant l’éleveur à ses animaux.

L’espace ‘‘Pas d’élevage sans amour’’, avec ses six races différentes, permet aux visiteurs de profiter de la diversité de l’élevage bovin régional pendant tout le SANA.
L’espace ‘‘Pas d’élevage sans amour’’, avec ses six races différentes, permet aux visiteurs de profiter de la diversité de l’élevage bovin régional pendant tout le SANA.
© Sylvain Desgroppes

L’espace ‘‘Pas d’élevage sans amour’’ aménagé en face du ring central dédié aux concours bovins du Salon de l’Agriculture Nouvelle-Aquitaine a séduit le grand public. « On a repris l’opération de communication que la race Limousine a lancée il y a cinq ans, dans le but de montrer, par des photos, l’amour existant entre l’éleveur et ses animaux », commence Thomas Cerciat. Le conseiller élevage environnement de la chambre d’agriculture de la Gironde, très actif autour des races bovines pendant le SANA, explique cependant les évolutions apportées :

« On a gardé cette idée de souligner le lien entre l’Homme et l’animal, mais en mettant surtout en avant les éleveurs. On veut raconter l’histoire, l’aventure humaine derrière chacun d’entre eux. »

Les quatre races en concours pendant Aquitanima, ainsi que les Jersiaises et les Charolaises, sont toutes représentées par deux spécimens. À côté de chaque bovin et de son nom, un QR code à flasher renvoie vers une publication postée sur les réseaux sociaux. « Cela permet de découvrir que derrière les exploitations, il y a des histoires humaines à raconter », juge Thomas Cerciat.

La famille Comby (Jersiaise) et la famille Soulard (Charolaise) témoignent de la transmission familiale autour de la passion pour leurs races, Amandine Berguer, passionnée de Bazadaise, est salariée du lycée agricole de Bazas où elle a étudié, Jean-Pierre Planté va voir son élevage de Blondes d’Aquitaine se poursuivre au féminin avec l’installation de ses deux filles. À découvrir...

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