Aller au contenu principal

National Parthenais
Viaduc relie Paris à Saint-Maixent

La race parthenaise a une force d’attraction impressionnante. En trois jours de concours national, la race locale a attiré 5000 visiteurs à Saint-Maixent-l’École.

Le concours national de la race parthenaise est revenu, vingt ans plus tard, en terres saint-maixentaises.
Le concours national de la race parthenaise est revenu, vingt ans plus tard, en terres saint-maixentaises.
© DR
43 élevages, 200 animaux. Le week-end dernier, à Saint-Maixent-l’Ecole, les effectifs au concours national parthenais n’étaient pas ceux des grandes années. Les efforts des adhérents du comice agricole - les organisateurs de cette édition 2008 - n’y auront rien fait. Piqués par des charges en nette augmentation, circonscrits dans leurs mouvements par les risques pesants de FCO, les éleveurs ont montré une moindre mobilisation les 26, 27 et 28 septembre. Outre son incidence sur les effectifs, la morosité qui affecte élevage ne transpirait pas sur le ring dressé pour l’occasion place Denfert-Rochereau. « Les éleveurs qui ont fait le choix de participer ont fourni de gros efforts pour la préparation des animaux », juge Vincent Loiseau, directeur de l’OS parthenaise. « Ni trop gras, ni trop maigres », les spécimens en concours ont permis le déroulement d’une manifestation de haut niveau, sous le soleil. Un fait si rare cette année, qu’il mérite d’être souligné. L’événement aura célébré à nouveau les qualités de Viaduc. Le champion du concours général de la race organisé au Salon de l’agriculture, également meilleur mâle issu de la station d’évaluation génétique, décrochait le week-end dernier le titre de Champion des taureaux adultes. Cette manifestation aura également mis en valeur la qualité du travail des éleveurs Delion. Le Gaec a décroché le 1er prix d’ensemble, 2e prix femelle par le père, 1e prix femelle par la mère ainsi que le prix de championnat jeunes taureaux. « La juste récompense d’un travail conduit sur trois générations », estime Vincent Loiseau. C.P.
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

La petite dernière de chez New Holland, la CR 11 a été présentée, jeudi 27 juin, à Essouvert.
La CR 11 en démonstration

Les Établissements Chambon ont invité 200 clients, à venir voir la toute dernière moissonneuse batteuse de New Holland, la…

Thomas (à droite) a passé du temps avant le parrainage avec les deux frères Mimault pour prendre la relève de François.
À L'Absie, le temps a œuvré pour nouer la relation cédant-futur installé

Au Gaec La Jolinière, un nouveau duo d'associés a vu le jour depuis le 1er mai : Thomas Moigner a rejoint Christophe…

La moissonneuse de l'ETA Poussard, de Villiers-en-Plaine, dans une "belle" parcelle d'orge à 65 q/ha.
Moissons en Deux-Sèvres : petite récolte en vue

Les premiers hectares battus en Deux-Sèvres en orge et en colza montrent des rendements hétérogènes, à tendance basse, et une…

D'immenses chapiteaux jalonnent la vallée derrière la mairie de Saint-Martin.
Village de l'eau : méli-mélo de luttes sous chapiteaux

Le Village de l'eau a pris ses quartiers à Saint-Martin-lès-Melle le 16 juillet. Il rassemble des militants de luttes diverses…

Le système de coupe tronçonneuse est une pince Vosch 2000 force 52 KN guide de 80 cm.
Du nouveau à la Cuma du Bocage

Plus de prestations grâce à de nouveaux matériels : 300 000 € ont été investis par cette Cuma des environs de Bressuire.

Les premières collectes françaises de blé tendre montrent des rendements inférieurs de 11 % à la moyenne décennale.
Pas assez de blé pour les agriculteurs

Le blé tendre ne fait pas exception à la mauvaise année céréalière, avec une estimation de rendement moyen à 64 q/ha.

Publicité