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Un tandem pour porter l’emploi partagé et soulager le travail

Selon le Service de remplacement et le Groupement d’employeur, on assiste à des besoins croissants de main-d’œuvre dans les exploitations. L’emploi partagé est une des solutions privilégiées.

Les présidents Thomas Baudry, du Service de remplacement, et Jean-Michel Monneau, du Groupement d’employeur, ont un objectif commun : l’emploi dans les exploitations.
Les présidents Thomas Baudry, du Service de remplacement, et Jean-Michel Monneau, du Groupement d’employeur, ont un objectif commun : l’emploi dans les exploitations.
© G.R.

«L’emploi partagé est notre point commun », affirment Thomas Baudry et Jean-Michel Monneau, respectivement présidents du Service de remplacement et du Groupement d’employeur des Deux-Sèvres qui tenaient leur assemblée générale, cette semaine. Assurer le plein-emploi dans les exploitations est là encore la raison d’être des deux structures, plus particulièrement en ce qui concerne les remplacements non prévus, avec le SR, et les remplacements, prévus, avec le Ged.

Les demandes de main-d’œuvre des agriculteurs évoluent, en particulier quand la situation économique est tendue et « que les trésoreries ne suivent pas », alors que le travail ne manque pas dans les fermes, constate Jean-Michel Monneau. « L’emploi partagé peut être une solution », poursuit-il, d’autant qu’en faisant appel à l’un ou l’autre des services, « les exploitants sont dégagés de toutes les formalités administratives liées à l’embauche, y compris le bulletin de salaire ».

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