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Un pâturage gagnant avec un robot de traite

Les associés du Gaec du Jonquet, dans la Manche, ont choisi d'installer deux stalles pour gérer le pâturage avec plus de souplesse.

Le pâturage permet de faire des économies sans fermer le silo. De plus, ce système n’impacte pas les volumes de production.
Le pâturage permet de faire des économies sans fermer le silo. De plus, ce système n’impacte pas les volumes de production.
© F.Mechekour

«Se simplifier la tâche, tel était l'objectif de la première stalle installée en 2009 (500 000 litres). Mais en 2011, la reprise d'une ferme saturant alors le robot nous a décidés à la vendre pour installer deux stalles. Nous avons pu ainsi retrouver de la souplesse et ce, notamment dans la gestion du pâturage », observe Franck Leledy, l'un des trois associés du Gaec du Jonquet à Anvers, dans la Manche, lors des Prairiales de Normandie (1) à Saint-Pierre-Sur-Dives, dans le Calvados. Les exploitants souhaitaient en effet tirer parti de l'herbe pâturée et surtout des 15 hectares accessibles autour du bâtiment, soit 18 ares par vache. C'est la raison pour laquelle le robot gère la sortie au pâturage.

« Le matin, l'ensilage de maïs est désilé vers 8 heures. Dès 8 h 30, les vaches peuvent sortir. Une fois la traite effectuée, le robot trie les animaux et leur donne la possibilité d'aller en pâturage libre. On désile à nouveau vers 16 heures. Les productrices pourront à nouveau sortir dès 20 heures. Le plus difficile est de trouver le bon compromis entre pâturage et ensilage. Au printemps, le ratio avoisine les 60 % d'herbe et 40 % de maïs ensilage. La quantité de concentration distribuée par le robot s'élève à 1 300 kg par vache laitière soit 160 g/litre de lait », poursuit l'éleveur.

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