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Un outil à tout faire, mais pas n’importe comment

Les chariots télescopiques sont sollicités pour un nombre varié d’activités, souvent quotidiennes, dans les exploitations de polyculture et élevage. Mais il a un coût et la sécurité ne doit pas être passée sous silence.

Suivant l’arrêté du 1er mars 2004, les VGP obligatoires doivent être réalisées tous les 6 mois
Suivant l’arrêté du 1er mars 2004, les VGP obligatoires doivent être réalisées tous les 6 mois
© L.Vimond

Chargement d’ensilage, collecte des balles de fourrage aux champs, nettoyage des stabulations, chargement d'un camion en passant par de la petite manutention quotidienne, le chariot télescopique est l'outil à tout faire dans l'exploitation. Difficile, donc, de s’en passer.
Comparé à un tracteur équipé d'une fourche, il présente quelques avantages tels qu’une bonne maniabilité, une puissance hydraulique ou encore un accès aisé au poste de conduite. Néanmoins, son coût d'utilisation est élevé et son manque de polyvalence ne lui permet pas, dans certaines exploitations, de rivaliser avec le tracteur fourche, qui peut être utilisé et rentabilisé par de nombreux autres travaux.
Différentes études réalisées, portant sur plus de 500 chariots télescopiques, nous en disent un peu plus sur le prix de revient de ce matériel. On constate que le coût d'utilisation moyen, carburant non compris, est de 20 €/heure sur un parc de matériel réalisant en moyenne 650 heures annuellement.
L'entretien/réparation est un poste important, il représente 21 % du coût horaire et il augmente nettement avec l'âge. On constate en effet qu'il passe de 2 €/h les deux premières années à 4 € la troisième puis à 6 € la quatrième année.

Plus d'infos dans le dossier manutention du journal Agri 79 du 13 mai 2016

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