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Un gin charentais au goût d’immortelle

Entre Réparsac, siège de l’entreprise de spiritueux créée par Christophe Amigorena, et l’Ile d’Oléron, où se pratique la culture de l’immortelle, la fabrication du gin Melifera est 100 % charentaise.

La préservation de l’abeille noire Apis Mellifera Mellifera (d’où est tiré le nom du gin) et celle des côtes va faire partie des premiers projets soutenus par Christophe Amigorena (à gauche).
La préservation de l’abeille noire Apis Mellifera Mellifera (d’où est tiré le nom du gin) et celle des côtes va faire partie des premiers projets soutenus par Christophe Amigorena (à gauche).
© Gin Melifera

« La madeleine de Proust » de Christophe Amigorena s’appelle la fleur d’immortelle et l’odeur subtile qu’elle dégageait quand, enfant, il rentrait de la plage dans le pays basque. Quand l’entrepreneur décide, la cinquantaine venue, d’entamer un nouveau chapitre de sa vie professionnelle et de revenir au pays (N.D.L.R. : il a grandi à Cognac), il fait deux choix : l’un plutôt convenu (se lancer dans le secteur des spiritueux sur ce territoire de prédilection), l’autre beaucoup plus insolite (créer un gin premium à base d’immortelle). Une fleur qui suscite chez lui « des souvenirs émotionnels » et sur laquelle il a pu travailler au cours de son parcours professionnel au sein de l’entreprise de cosmétiques L’Occitane. « Le gin est le spiritueux qui se marie le mieux avec les plantes botaniques, telles que l’immortelle » estime le chef d’entreprise, qui s’est reposé sur les compétences de la distillerie SVE (Société des vins et des eaux-de-vie) à Chevanceaux pour réaliser cette alchimie. Un « challenge » qui a nécessité six mois de tests et de dégustations, avant que Christophe Amigorena ne retrouve cette saveur d’enfance distillée dans un alcool à 43 degrés.

Retrouvez la suite de l'article dans La Vie Charentaise du vendredi 26 mars 2021, disponible en kiosque et sur abonnement.

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