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Renouer avec le pacte alimentaire...

Invitée à la récente assemblée générale de la section lait de la FNSEA et de JA de la Vienne, Marie-Thérèse Bonneau, vice-présidente de la FNPL, appelle, dans le cadre de la réflexion sur la Pac post-2020, à «une rupture d’un système» pour que les éleveurs bénéficient de prix rémunérateurs.

«Pour l’instant, on a l’impression que ce sont les maillons intermédiaires qui font les choix, au détriment des producteurs de lait et des consommateurs», s’inquiète  Marie-Thérèse Bonneau.
«Pour l’instant, on a l’impression que ce sont les maillons intermédiaires qui font les choix, au détriment des producteurs de lait et des consommateurs», s’inquiète Marie-Thérèse Bonneau.
© Guillaume de Werbier

Tous les producteurs réunis pour l’assemblée générale de la section lait de la FNSEA et des JA 86 en convenaient : 2017 succède à deux années de crise majeure pour les éleveurs laitiers, qui ne parviennent toujours pas à couvrir leurs coûts de production. « Nous n’avons pas de perspectives sur le prix du lait », déplore Philippe Renaudet. En parallèle, le président de la section lait FNSEA 86 est aussi impatient de voir une harmonisation du mode de calcul du coût de production : « Contrôle laitier, centre de gestion, Institut de l’élevage… Il faut que tous les organismes aient le même mode de calcul de ce coût. Il y a besoin de remettre un peu d’ordre là-dedans ! »

 

 

...lire la suite en page 3 de la Vienne Rurale du 17 février

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