Aller au contenu principal

Pourquoi le département s’est désengagé de Résalis

Depuis le 1er janvier, un nouveau système a été mis en place concernant l’approvisionnement des collèges en produits locaux via Résalis. Gilbert Favreau, président du conseil départemental, s’explique sur les raisons de ce changement.

Gilbert Favreau
Gilbert Favreau
© G.R.

La convention qui avait été mise en place en 2013 entre le conseil départemental et Résalis n’existe plus dans sa forme d’origine. Pour quelles raisons ?
Le conventionnement mis en place à l’origine octroyait une forme de monopole à Résalis avec un groupement qui passait des marchés avec le conseil départemental. Cette convention n’existe plus depuis le 1er janvier 2017. Dès l’arrivée de la majorité actuelle, en avril 2015, nous avons été confrontés à des doléances des collèges, notamment les gestionnaires et les cuisiniers. Nous nous sommes aperçus que le dispositif était très complexe et très coûteux pour le département.
Le groupement de commande organisait des marchés avec les producteurs, Résalis était alors le fournisseur des collèges. Ces marchés, pour beaucoup d’entre eux, n’étaient pas véritablement respectés. Sur le premier semestre 2016 par exemple, seulement 23% des achats programmés ont été respectés. Le dispositif assurait certes un débouché aux producteurs mais ce débouché n’était pas fiable, notamment en ce qui concernait les livraisons.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

Tom et Didi Hawkins ont repris la supérette de Bouresse, ouverte tous les jours, sauf le mardi de 8 h à 13 h et de 15 h 30 à 19 h 30. Le dimanche de 8 h à 12 h.
Ouverture de commerces à Bouresse et Leigné-les-Bois

Lors des vœux des maires de début d'année, leur arrivée était signalée comme des "bonnes nouvelles". Les supérettes de…

Julien Dupuis, de l'Earl la Mardière, aux côtés de sa génisse Parthenaise ayant remporté le prix de championnat du concours. Elle a été achetée pour la boucherie du Leclerc d'Azay-le-Brûlé.
Concours de boucherie de Saint-Maixent : les ventes en petite forme

Les ventes atones lors de la foire de Saint-Maixent-l'École, le 11 avril, ont confirmé la tendance observée lors des derniers…

16 étudiants en BTS ACSE de Venours ont participé au projet.
Les lycéens à la découverte des Pays Bas
16 élèves du lycée de Venours vont réaliser le mois prochain un voyage vers les Pays-Bas. Au programme, un peu de tourisme, et…
Le camion Christelle Berthonneau s'appelle Sereine. Elle va à la porte de ses clientes ou s'arrête sur la place des villages.
Ces services qui viennent à notre porte
Certains commerçants ont décidé d'arpenter les routes de nos campagnes pour amener certains services à la porte de leurs clients.
Romain Pétorin, Nathan Groussard, Gwenaëlle Richard, Elena Morillon et Aurélien Lys autour du diorama des deux premiers.
Le modélisme agricole s'expose à Migré

Ce dimanche 27 avril, une quinzaine de passionnés exposeront leurs réalisations de modélisme agricole à Migré.

Dans l'équipe de Théon Innovation, des associés fondateurs, Nicolas Bentz et Aurélia Flèche (à gauche) de la banque d'affaires énergie Adenfi. Xavier Guillot, responsable de la division agronomie et scientifique (à gauche au second plan). À droite, Philippe Moreau, fondateur de Théon Innovation, Dominique Clément, consultant et Mohamed Madani, ingénieur.
"L'agrivoltaïsme doit créer un nouvel atelier "

La proposition de loi sur l'agrivoltaïsme, déposée par le député de la Vienne, Pascal Lecamp, a été adoptée par la Commission…

Publicité