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Plus de 1000 ans, et toujours d’attaque pour samedi

  Même s’il est actuellement très occupé, le Père Noël a accepté de prendre de son précieux temps pour accorder une interview à la Vienne Rurale. Une rencontre qui s’est évidemment tenue dans le plus grand secret dans le sud Vienne, autour des décors qu’apprécie tant le célèbre barbu.

Il se dit que vous avez plus de 1 000 ans. On a l’impression que vous ne vieillissez pas. Comment faites-vous ?
C’est le froid, ça conserve. Et puis tout ce bonheur que je vois dans les yeux des enfants et des grands, c’est mieux que des vitamines.

Vous êtes né bébé ou directement avec cette apparence ?
C’est là qu’est toute la magie. Je ne suis pas né.

Comment faites-vous pour livrer tous ces cadeaux partout dans le monde, en même temps ?
On est connectés, mais pas par internet. C’est difficile à expliquer…

Vous savez que certains doutent que vous existiez vraiment. Que leur répondez-vous ?
Ce n’est pas très grave, mais ça me rend triste pour eux. Ce serait bien que ces gens viennent me voir, je pense que leur vie serait plus belle si je leur montrais toute cette part de magie que je vois.

Que faites-vous le reste de l’année ?
Avec la mère Noël, nous devons nous occuper des rennes et des lutins. Il nous arrive de voyager de façon incognito. Sans mon costume, j’arrive presque à passer inaperçu. Je me fais alors appeler Patrice.

Vous faites un entraînement spécial pour être prêt pour le 24 décembre ?
Oui, je me prépare depuis des semaines. Tous les matins, je fais 100 mètres autour de la maison.

Après toutes ces années, vous n’êtes pas lassé d’être le Père Noël ?
Non, c’est toujours aussi extraordinaire. Faire plaisir aux enfants, j’adore. Quand un enfant vient sur mes genoux, je vois que c’est un moment important pour lui. Et ce que j’aime bien, c’est quand il tire sur ma barbe pour voir si c’est une vraie. Parce que je sais qu’il y a de faux Pères Noël, mais ce n’est pas grave, ils rendent aussi les enfants heureux, c’est l’essentiel. Quand les enfants comprennent que ma barbe est vraie, ils passent ensuite souvent du temps à la caresser.

Justement, vous portez une attention particulière à votre barbe ?
Oui, bien sûr, chaque jour, je fais un shampooing spécial, qui est préparé par les lutins. Mais je n’ai pas le descriptif complet de sa composition. Je fais confiance aux lutins. Aujourd’hui, désolé, je crois qu’elle n’est pas très bien peignée…

Et les rennes, ils s’entraînent aussi ?
Il faut, oui, mais c’est un peu compliqué. Ils sont assez indisciplinés. Je dois les appâter et les motiver. Mais pas avec des carottes, ce ne sont pas des baudets du Poitou. Les lutins m’aident aussi pour les régaler.

Trouvez-vous que les enfants sont plus sages ou moins sages qu’avant ?
C’est difficile à dire. Quand je leur demande, ils me disent tous qu’ils sont sages. Peut-être qu’ils mentent un peu, mais ce n’est pas grave. Tout le monde a le droit à sa bulle de magie et de bonheur.

Et vous, vous n’avez jamais de cadeaux à Noël ? Mais si, mon cadeau, c’est tout ce bonheur que je vois et que je ressens chez les enfants et aussi les plus grands !

Quel message souhaitez-vous passer aux enfants ?
Aimez-vous les uns les autres. L’amour, c’est la clé ! Noël, c’est l’occasion d’ouvrir son cœur, d’être dans la tolérance.

 

Vins : choisir selon ses goûts, et ne pas hésiter à innover
Depuis 2 ans, Cissou Baybaud et François Grassin ont repris le Dit Vin, à Saint-Georges-les-Baillargeaux. Ces deux amateurs de bonne chair se font un plaisir de conseiller leurs clients pour choisir leurs vins, bières et autres spiritueux. Même s’ils assurent tous les deux que « le meilleur accord est celui qui fait plaisir » et que chacun doit avant tout choisir selon ses goûts personnels, ils avouent quelques coups de cœur pour accompagner les mets de Noël. Avec un foie gras, le choix de Cissou Baybaud se porte sur un  Marsanne, un blanc des Côtes du Rhône, «  fruité, mais pas sucré », ou un Happy bulle. « C’est un pétillant naturel, qui vient du Beaujolais, avec peu de sucre » insiste la caviste, qui préfère ne pas marier un vin sucré au foie gras. Dernière proposition, un Justice Sauvage : un blanc de noir, « pas sucré, sec et fruité, qui a une belle longueur en bouche ». Des vins, comme tout ce qui est proposé dans la cave, sans pesticides ni intrants. Pour accompagner un dessert au chocolat, la caviste propose des vins rouges comme le Granat ou un Maury. « Et pourquoi pas une bière ? » ajoute la caviste, en montrant deux productions de la Vienne : la Tenebris (bière stout, torréfiée), de la Brasserie du XIII, à Saint-Georges-les-Baillargeaux, ou l’Hadès (imperial stout), de la Manufacture de bières, à Poitiers.
 

Il n’est peut-être pas encore trop tard pour garnir la hotte du Père Noël. À l’occasion des fêtes de fin d’année, la rédaction de la Vienne Rurale a décidé de mettre à l’honneur les commerçants du département à travers les boutiques de créateurs et les fédérations des acteurs économiques de nos villes. À travers leurs vitrines ou leurs marchés de Noël, les commerçants ont habillé le département aux couleurs de Noël.

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