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Pas de répit pour le Résa et ses partenaires

Le nombre d’exploitations suivies par la Résa a augmenté en 2016, signe des difficultés rencontrées mais également du renforcement des actions entreprises.

L’apport des organismes présents sur le terrain pour faire remonter les problématiques recontrées est un véritable atout pour le Résa.
L’apport des organismes présents sur le terrain pour faire remonter les problématiques recontrées est un véritable atout pour le Résa.
© C.M.

C’est un chiffre qui est toujours attendu avec appréhension par les équipes du Résa. Principal indicateur de l’activité de la structure, le nombre d’exploitations suivies en 2016 retourne vers les hauteurs de 2013. L’année dernière, elles étaient 251, soit une trentaine de plus qu’en 2015. Un chiffre en hausse qui rend compte des difficultés de la campagne deux-sévrienne et notamment de l’impact des mauvaises récoltes au second semestre 2016. Néanmoins, ces données doivent être également perçues comme un renforcement de l’action des équipes mobilisées sur le terrain. « Le maillage se fait plus dense. Le fonctionnement en réseau est le point fort de notre structure », se félicite François Chauveau, le président du Résa.

Ce réseau, composé des techniciens de la chambre d’agriculture, de la MSA, des OPA ou encore des banques, est à l’origine de la moitié des 73 entrées dans le dispositif en 2016 grâce à leur travail de détection et de relais. « Afin de renforcer cette surveillance, les membres de ces organismes ont été formés à être plus à l’écoute des risques psycho-sociaux », présente Valérie Berton, conseillère au Résa. C’est ainsi que 22 personnes de cinq OPA différentes ont suivi une formation l’année dernière.

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