Aller au contenu principal

Ovin: le salariat pour alléger le travail

Dans la cadre du programme Inn’ovin, la section ovine FNSEA- JA de la Vienne a organisé une journée de sensibilisation aux questions de l’emploi en élevage ovin. Un critère non négligeable pour encourager l’installation.

Victor Leglantier (à droite) apprécie que son salarié, Laurent Fleurat,soit complètement autonome sur l’élevage.
Victor Leglantier (à droite) apprécie que son salarié, Laurent Fleurat,soit complètement autonome sur l’élevage.
© Guillaume de Werbier


Améliorer les conditions de travail et donc faire en sorte que le métier d’éleveur de moutons soit attractif : c’est une des priorités de la filière, conduite au sein d’Inn’ovin, programme qui prend la suite de la Reconquête ovine. Il s’agit effectivement de renouveler les éleveurs en améliorant l’image de la production. « Les contraintes de travail restent présentes en élevage ovin, mais il y a des solutions », présente, optimiste Guy-Gérard Merlande, co-président du C2OR (comité d’orientation ovin régional Sud-Ouest).
Le salariat est une des pistes pour les chefs d’exploitation pour améliorer leurs conditions de travail. C’est le choix qu’a fait Victor Leglantier, jeune éleveur qui a repris le Domaine du Léché, à Saulgé (installé en mai 2014 sur 175 ha, 500 brebis). Il a décidé de garder le salarié, Laurent Fleurat, qui était déjà sur l’exploitation avant la reprise. Laurent, qui habite Montmorillon, occupe un temps plein de 40 heures. « Laurent m’a permis de m’épauler à mon arrivée car il connaît très bien l’élevage », confie Victor Leglantier. « Il m’a aussi pas mal apporté en matière de technique. C’est important car je n’ai pas au départ une formation orientée élevage. »

Lisez la suite de cet article dans la Vie Charentaise du 25 mars 2016 (page 8)

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

L'atelier des 6 Vallées réunit des producteurs de la Vienne et des Deux-Sèvres.
L'Atelier des Vallées prend forme
L'atelier collectif de découpe et de transformation de produits locaux des Vallées devrait voir le jour début 2026 à Coulombiers…
Baptiste Conreaux amène les commandes de fruits, légumes, jus et œufs à la porte de ses clients.
Des produits locaux livrés à domicile

Si la demande de livraison de fruits et légumes locaux était forte pendant la crise sanitaire, elle s'est bien estompée ces…

Laurette Didière vient de créer son agence Charentes In Flow.
Découverte touristique sur-mesure des Charentes
Laurette Didière créé une agence de tourisme réceptive : Charentes In Flow.
La Chambre d'agriculture de Charente (représentée par son président Christian Daniau) a porté le dossier pour tout le Poitou-Charentes. Aux manettes : le service Environnement, dirigé par Audrey Triniol.
La MAEC zone intermédiaire financée en intégralité
Tous les agriculteurs éligibles à la mesure agro-environnementale et climatique "zone intermédiaire en Poitou-Charentes", qui en…
Guillaume Roux et Cassandra Bœuf veillent sur leurs escargots.
Nouveaux anges gardiens pour les cagouilles
Cassandra Bœuf et Guillaume Roux ont repris la Cagouille charentaise, à Mons. L'exploitation hélicicole va déménager dans les…
Il manque un quart de sole de cultures d'hiver, qui n'ont pas pu être semées en Gâtine, et en plaine, les parcelles argilo-calcaires ont noyé par endroits.
"Si la collecte atteint 60 % d'une année standard, ce sera bien "

Les conditions climatiques ont chamboulé les plans d'assolement traditionnels. Ce début de printemps voit un potentiel de…

Publicité