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Ferme s’Invite : 2022 restera un bon millésime

L’association organisatrice de La Ferme s’Invite tenait son assemblée générale en fin de semaine dernière à Champagné Saint-Hilaire. Ses adhérents sont revenus sur la réussite de la dernière édition et ont fixé quelques jalons pour la prochaine.

Les organisateurs de la Ferme s’Invite ont déjà de nouvelles idées en tête pour le contenu de la prochaine édition.
© Guillaume de Werbier

L’édition 2023 est encore à l’état d’embryon, mais il y aura plein de choses nouvelles. On a beaucoup d’idées », promet Michel Caillé, le président de l’association La Ferme s’Invite. Ce qui est d’ores et déjà fixé, ce sont les dates de la manifestation, les 17, 18 et 19 novembre prochains, toujours au parc des expositions de Poitiers. Les organisateurs restent finalement sur la formule d’une ouverture complète au grand public de 3 jours, initiée lors de la précédente édition. Sans gros événements pendant le dernier salon, 35 000 personnes avaient fait le déplacement, preuve que le rendez-vous est aujourd’hui bien connu du public, au-delà même de la Vienne. Michel Caillé a profité de la récente assemblée générale de l’association organisatrice pour remercier l’ensemble des partenaires « qui permettent de garder la gratuité » de l’entrée du salon.

Cet accès aux visiteurs, dès le vendredi 17 novembre, est, entre autre, pensé pour faciliter la venue d’entreprises. Ce sera aussi l’occasion de modifier le temps d’accueil des scolaires, cantonnés jusque-là à une présence sur la matinée. La ferme pédagogique (1 000 élèves reçus, du CP à la 6e), animée par la FNSEA 86, sera ouverte toute la journée. « Avant, les écoliers ne pouvaient voir que quelques animaux, car ils n’étaient pas tous arrivés », explique Michel Caillé. Dans cette nouvelle configuration, des circuits seront prédéfinis dans les allées pour les enfants, qui seront guidés dans leur visite par les jeunes bénévoles des lycées d’enseignement agricole et des MFR. Entre autres projets, les organisateurs planchent aussi sur la présence au salon de bouchers pour mettre en avant les viandes bovines locales certifiées Label Rouge.

À noter que Vincent Loiseau, qui a notamment participé l’année dernière à la gestion du pôle animal, quitte l’aventure pour une autre activité professionnelle. « Ça a été une belle expérience », avoue-t-il. « Vous avez un très beau support, beaucoup de bénévoles, et une grande variété de productions représentées. »

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