Aller au contenu principal

Légumes
« Mon projet de vie a défini la surface »

Camille Camuzet s’est lancée dans le maraîchage voilà deux ans, à Saint-Sulpice-de-Royan. Son projet professionnel est lié à son projet de vie.

Camille Camuzet propose sur son exploitation une cinquantaine de légumes différents et 90 variétés.
© LG

Passer du monde équin, s’intéresser à la biologie marine pour arriver au maraîchage, c’est en substance le parcours de  Camille Camuzet. À 27 ans, la jeune femme de Saint-Sulpice-de-Royan, titulaire d’un bac pro équin à Saint-Genis-de-Saintonge, est passée par un BTS ACSE à Cherves, et pour finir, a préparé une licence en science et biologie marine. Entre temps, elle a fait une pause dans ses études pour voyager et faire des saisons. « C’est en travaillant dans un magasin de sport que j’ai eu le déclic de ne pas avoir un travail où l’on soit enfermé et ne pas avoir de hiérarchie au-dessus de moi », explique celle qui est installée depuis deux ans. « J’ai lu un livre de Jean-Martin Fortier, un agriculteur enseignant qui a révolutionné le monde du maraîchage au Québec.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

Les givrés de Noël lancent leurs défilés sur les routes du Civraisien ce samedi 6 décembre.
Les agriculteurs font briller nos villages
Dans le Civraisien et en Vienne et Gartempe, les agriculteurs, au volant de leurs tracteurs illuminés, parcourent depuis…
Engraissement : des actions pour développer la production

Face à la décapitalisation et aux montants élevés du maigre, Terrena, la Caveb et Feder mettent en place des aides pour…

Renforcement des contrôles des mouvements d'animaux en Deux-Sèvres

Dans un contexte sanitaire évolutif en matière de maladie animale, les services de l'État sont au côté des professionnels des…

Les prix de bovins ont prix 2€/kg depuis le début de l'année.
Un marché bovin qui s'emballe, faute d'offre
Comme partout en France, le nombre de bovins viande ne cesse de baisser dans la Vienne. Moins soumis aux aléas mondiaux que les…
Avec des récoltes records en grandes cultures, le marché est inondé et peine à rémunérer correctement les producteurs.
Céréaliers : des revenus dans le rouge mais quelques leviers à activer

Avec une production mondiale de céréales qui bat des records, les prix ne décollent pas. La recherche d'une meilleure…

Pierre-Adrien Flages et Emmanuel Massicot ont dressé le bilan de l'exercice 2024-2025 et évoqué les projets du groupe COC.
COC poursuit ses projets structurants
Comme on pouvait s'y attendre COC (anciennement Centre Ouest Céréales) a réalisé une très petite collecte en 2024. Ce qui n'…
Publicité