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Les éleveurs se nourrissent de l’expérience des autres

Un nouveau groupe vient de voir le jour en Gâtine. Une dizaine d’éleveurs ont réfléchi ensemble à l’élevage des chevrettes. La ration était au cœur des échanges.

Nathalie Maudet a augmenté la part des matières premières dans la ration, ce qui lui a permis de mieux maîtriser ses charges.
Nathalie Maudet a augmenté la part des matières premières dans la ration, ce qui lui a permis de mieux maîtriser ses charges.
© C.P.

L’élevage d’une chevrette coûte en moyenne 142 euros. « L’écart entre l’exploitation la plus performante et la moins performante est de 109 € », annonce Angélique Roué, animatrice du tout nouveau groupe caprin de Gâtine. Un chiffre qui interpelle les dix éleveurs venus échanger jeudi 4 mai. À Saurais, Nathalie Maudet les recevait pour cette journée de réflexion autour de l’élevage des chevrettes. Cette étape est capitale pour l’avenir du troupeau. S’il convient de maîtriser le coût de production des jeunes, la préparation des futures reproductrices est identifiée comme prioritaire par ceux dont le lait fait le revenu.


Dans la chèvrerie, les débats vont bon train. Des problèmes sanitaires à l’écornage en passant par le sondage des chevrettes, le partage d’expériences est dense. On tend l’oreille, on griffonne sur un coin de papier les chiffres, les composants de la ration, le nom d’interlocuteurs présentés comme référents par les collègues.

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