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Le pois d’hiver et ses intérêts agronomiques et économiques

Le pois d’hiver peut être intéressant à cultiver dans le Thouarsais. Résistant aux coups de chaud, il permet d’économiser de l’azote.

Le choix des variétés de pois doit se faire en fonction de leur  résistance à la sécheresse, susceptible de toucher ponctuellement le territoire.
Le choix des variétés de pois doit se faire en fonction de leur résistance à la sécheresse, susceptible de toucher ponctuellement le territoire.
© N.C.

Une animation autour du pois d’hiver s’est déroulée le jeudi 28 avril sur l’exploitation de Philippe Emoré à Douron, sur la commune de Saint-Jouin-de-Marnes, dans le nord des Deux-Sèvres. Eric Versavel, conseiller grandes cultures à la chambre d’agriculture, et Élodie Tourton, de Terres Inovia, ont fait le point sur les différents aspects de la culture du pois d’hiver avec une vingtaine d’agriculteurs qui ont participé aux différents ateliers proposés sur la filière du pois, sa culture, sa protection et le matériel de récolte.

Du pois pour l’alimentation de récolte
Le marché du pois protéagineux peut se développer puisque l’offre reste encore très inférieure par rapport à la demande nationale et internationale. Cette culture mineure a pourtant de nombreux débouchés en alimentation animale et commence même à apparaître dans l’alimentation humaine. On observe néanmoins une progression de cette culture au niveau national, même si elle régresse dans les Deux-Sèvres, du fait notamment de la complexité de son pilotage, de la diminution des rendements et de son trop faible prix de revient, souvent tributaire des aides Pac.

Plus d'infos dans le journal Agri 79 du 6 mai 2016

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