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Le périmètre des zones de surveillance n’est pas remis en cause

La présence d’anticorps chez certains animaux a conduit à l’abattage de 5 200 canards à Prahecq. La pression reste forte mais aucun nouveau cas (*) n’a été diagnostiqué depuis le 23 février. Le processus visant la levée des zones se poursuit.

L’abattage du cheptel à Prahecq ne renforce pas les mesures administratives applicables en Deux-Sèvres
L’abattage du cheptel à Prahecq ne renforce pas les mesures administratives applicables en Deux-Sèvres
© C.P.

Pour lever le dispositif administratif que sont les zones de surveillances en Deux-Sèvres, la DDCSPP procède à des analyses sur le terrain. « Tous les élevages de palmipèdes sont enquêtés dans les secteurs concernés (voir Agri 79 du 3 mars). Un pourcentage d’ateliers de volailles également. Seule l’absence du virus conduira la DGAL à assouplir les règles », explique Claire Villedary, chef de pôle à la DDCSPP.
Ces dernières semaines, les vétérinaires sanitaires effectuent les sérologies et virologies dans les élevages ciblés par la DGAL. Progressivement, les résultats rentrent. Et comme à Prahecq, sur l’exploitation dans laquelle vendredi 10 mars 5 200 canards prêts à gaver ont été abattues, ils peuvent révéler le passage du virus dans les exploitations. « Effectivement, ici, la présence d’anticorps dans le sang des animaux prélevés a confirmé cette réalité, expliquent les services de l’État. Les sérologies ont identifié un sous type H5 sujet, comme le H7, du programme d’abattage visant l’éradication. « La présence d’anticorps ne certifie pas que le virus est encore présent. Mais, ne pouvant effectuer des écouvillons sur l’ensemble des animaux, et compte tenu de la pression virale supposée dans l’environnement de l’élevage, l’abattage est requis ».

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