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L’agriculture de conservation se présente comme un modèle d’avenir

L’assemblée générale de la Coordination Rurale s’est déroulée le 15 mars à la chambre d’agriculture à Angoulême. Le thème de la conférence agricole a porté sur les Techniques culturales simplifiées (TCS) et l’agriculture de conservation des sols.

François Mandin et Christian Marin, président et vice-président de l’Apad Centre Atlantique.
François Mandin et Christian Marin, président et vice-président de l’Apad Centre Atlantique.
© Alexandre Merlingeas

Dans le monde agricole, on sait que la météo est un facteur primordial. Si le soleil de ces derniers jours a été favorable aux travaux des champs, il est en revanche bien moins propice aux assemblées générales syndicales.

Dommage pour les absents qui n’ont pas assisté à celle de la Coordination Rurale 16 qui s’est déroulée le 15 mars à la chambre d’agriculture à Angoulême. L’après-midi, ils auront manqué la conférence de François Mandin et Christian Marin, respectivement président et vice-président de l’APAD Centre Atlantique, sur les TCS et l’agriculture de conservation des sols. Et découvrir ce monde merveilleux et subtil qui, même s’il fait encore débat, se développe dans le monde et en France. “Quand on peut joindre économie et agronomie, pourquoi ne pas le faire ?”, a lancé Frank Olivier, le président de la Coordination Rurale de Charente, en introduction rappelant que le syndicat fut le premier en Charente à faire le festival du non-labour. Le sujet est vaste et c’est François Mandin, qui exploite 300 hectares en polyculture en Vendée, qui s’est collé à la présentation des grands principes de l’agriculture de conservation des sols qu’il applique depuis une vingtaine d’années chez lui. “Nous avons acquis une petite expertise, reconnaît-il. Même si on a appris à être humble sur le fonctionnement du sol. C’est le seul élément de nos propriétés agricoles sur lequel on a une emprise dans notre activité”. C’est le phénomène d’érosion qui a poussé l’exploitant à se tourner vers les techniques culturales simplifiées : “Une des causes de cette perte du sol, même si c’est dur à dire, c’est l’agriculture”. Et plus précisément, le travail du sol et le labour.

Lire l'intégralité de l'article dans la Vie Charentaise du 18 mars 2016 (page 6)

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