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La Saint Barthélémy dévoile son programme du 23 août

L’Aéocape organise sa fête de l’élevage le 23 août à Confolens avec une volonté accrue de faire mieux connaître l’élevage ovin et d’assurer la promotion du contrôle de performance.

De gauche à droite : Jean-Paul Rivaud, Geneviève Eronte et Pascal Laurent, les trois chevilles ouvrières de l’Aéocape.
De gauche à droite : Jean-Paul Rivaud, Geneviève Eronte et Pascal Laurent, les trois chevilles ouvrières de l’Aéocape.
© Alexandre Merlingeas

Après des changements à la tête de l’association il y a environ deux ans, l’Aéocape semble avoir trouvé son rythme de croisière dans le sillon de ses deux piliers fondamentaux que sont le contrôle de performance et l’organisation de la Saint Barthélémy avec ses partenaires.

« On va augmenter la promotion du contrôle de performance le 23 août avec des démonstrations assurées par Nathalie Augas, de la chambre d’Agriculture, et le témoignage d’un éleveur en la personne de Jean-Paul Rivaud, notre trésorier, qui va dire ce que le contrôle lui apporte », explique Geneviève Eronte, co-présidente de l’Aéocape, qui souhaite faire comprendre aux éleveurs ovins tout l’intérêt du contrôle de performance dans l’amélioration génétique du troupeau, et donc de ses performances économiques, soutenu par une aide financière importante du conseil départemental.

Mais qu’on ne s’y trompe pas, la Saint Barthélémy reste un événement grand public qui se déroule à l’occasion de la foire et dans le quartier du même nom à Confolens. Sur le ring, dès 9 h 15, vont se succéder les chevaux, les chèvres, les limousines et différentes races de moutons. « On aura deux races rustiques supplémentaires, la Rava et la Solognote, qui montrent la diversité ovine », indique Pascal Laurent, l’autre co-président.

Au programme : des concours d’agnelles de boucherie et rustiques, d’a­gneaux de boucherie, ainsi que des dégustations. La matinée s’achèvera par un repas paysan concocté par des producteurs. À noter, les démonstrations de tonte et de chevaux de trait.

Les organisateurs en sont convaincus, l’élevage ovin a besoin de se faire mieux connaître, ne serait-ce que pour attirer des vocations dont il manque cruellement à l’heure du renouvellement des générations.

 

Retrouvez le programme complet de la Saint-Barthélémy dans notre édition du 10 août.

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