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La machine à traire impacte le taux de cellules dans le lait de chèvres

Afin de limiter au maximum les risques de contamination du lait en cellules, une enquête dans 1 146 élevages du grand Ouest et sur 2 260 contrôles confirme qu’un grand soin doit être accordé au choix, à l’entretien et aux réglages de la machine à traire.

En faisant contrôler sa machine tous les ans plutôt que tous 
les trois ans, l’étude a révélé un écart de 120 000 cellules/ml.
En faisant contrôler sa machine tous les ans plutôt que tous
les trois ans, l’étude a révélé un écart de 120 000 cellules/ml.
© GDW

Au-delà d’un certain seuil, la présence de cellules dans le lait est pénalisée par les laiteries. Puisque les bactéries responsables de cette infection ne se trouvent pas dans l’environnement (elles vivent uniquement dans et sur la mamelle), elles se propagent principalement pendant la traite. Cette dernière constitue donc une étape à risque qui peut avoir un impact sur la contamination du troupeau.

Afin d’identifier les éléments de conception, d’entretien et de réglage de la machine à traire qui favorisent l’augmentation du taux cellulaire moyen mensuel, l’Institut de l’élevage (Idele) a étudié 2 260 contrôles de machines à traire entre 2012 et 2015 et les analyses de lait associées chez 1 146 élevages caprins de la zone Grand Ouest. Cette étude a été financée par l’Anicap.

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