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Lait
La fusion des coopératives de base, puis les alliances

A la veille de l’assemblée générale du groupe Terra Lacta, Alain Lebret, le président, expose la stratégie retenue par le conseil d’administration.

Alain Lebret, président du groupe Terra Lacta.
Alain Lebret, président du groupe Terra Lacta.
© C. P.

Les assemblées de section des coopératives du groupe Terra Lacta (ex GLAC) ont débuté et l’assemblée générale du 26 juin prochain devrait entériner la fusion des 6 entités qui constitueront le nouveau groupe laitier. Alors que la politique du groupe laitier est régulièrement critiquée par des éleveurs, le président, Alain Lebret, explique la stratégie retenue par le conseil d’administration. Interview. 

Le 19 janvier dernier, les délégués des coopératives Charentes Lait, Capribeurre, Usval, Lescure-Bougon, ULDS, Union des caséineries ont accepté le principe d’une fusion au sein d’une seule entité Terra Lacta (*). Où en est-on aujourd’hui ?
92 % des délégués ont voté pour cette décision. Les assemblées de section se déroulent actuellement et la fusion doit être validée officiellement ce mois-ci en assemblée générale. Cela va considérablement simplifier le fonctionnement de l’entreprise. Les sections (qui regroupent plusieurs cantons) seront regroupées par région et les conseils de région seront le relais d’information entre le terrain et le conseil du groupe. Il y a une vingtaine de sections et quatre régions (Vendée, nord Charente-Maritime- Vienne et Deux-Sèvres + bordures des départements d’Indre-et-Loire et Maine-et-Loire - sud Charente-Maritime, Charente et Haute-Vienne- Dordogne, Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne et Aveyron). Pour ce qui concerne le Massif Central, la Coopal reste pour l’instant une coopérative indépendante adhérente de Terra Lacta et elle rejoindra la fusion plus tard. La fusion donne lieu à une élection générale avec constitution d’un nouveau conseil d’administration qui élira son bureau.

Lire la suite en page 3 d'Agri79

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