Parasitisme
La fin de l'ère du "tout anthelminthique"
Face aux résistances avérées aux traitements antiparasitaires, l'Anses et l'étude Parascope préconisent des protocoles plus ciblés et précis.
Face aux résistances avérées aux traitements antiparasitaires, l'Anses et l'étude Parascope préconisent des protocoles plus ciblés et précis.
![Bien préciser les parasites recherchés lors d'une coproscopie, car les méthodes d'analyses diffèrent (ici, strongles, strongyloïdes et coccidies). Douve, paramphistomes, ténia ou trichiures peuvent aussi être recherchés.](https://medias.reussir.fr/caracterres/styles/normal_size/azblob/2024-05/8bf906b76b2666ff906b76b26330a0v_.jpg?itok=DfnFxvd6)
![Analyse coproscopique au laboratoire de l'Anses de Niort.](https://medias.reussir.fr/caracterres/styles/normal_size/azblob/2024-05/f3fd72aa90366f7fd72aa9036cbfd7v_.jpg?itok=gkjQVF7M)
" Traiter aussi souvent que nécessaire mais aussi peu que possible. Ou l'inverse " : voici le mot d'ordre délivré par Carine Paraud, chargée de projet de recherche en parasitologie à l'Anses et pilote de l'étude Parascope (2021), qui a conclu à " l'urgence de revoir les pratiques de traitement anthelminthique et de les inscrire dans une gestion intégrée du parasitisme ".
Lire aussi : Changer les pratiques sanitaires en ovin avec Parascope La résistance aux strongles par la génétique