La coopérative Océalia dit merci à ses filiales
La coopérative Océalia absorbe au 1er janvier 2026 sa petite consœur du Périgord, la Scar. Mais le groupe coopératif compte surtout sur ses filiales diversifiées (de l'agroalimentaire au bois, en passant par les jardineries) pour compenser les aléas de la conjoncture agricole.
La coopérative qui rayonne sur huit départements du nord de la Nouvelle-Aquitaine a absorbé la Scar (Société Coopérative Agricole du Ribéracois), représentée par : Marc Portil, Éric Gazagnes, Guillaume Chivit et Martial Papillon (en partant de la gauche).
© Fabienne Lebon
Chaque année ou presque, à l'heure de dresser le bilan de l'exercice, les responsables d'Océalia - Denis Mathé, le président et Mathieu Staub, le directeur général - mettent en avant les résultats positifs du groupe pour contrebalancer les aléas climatiques ou financiers, qui frappent la coopérative. L'exercice 2024-2025 n'échappe pas à ce qui semble devenir une règle. Encore plus cette année, puisque la coopérative régionale affiche une perte sèche de 3,90 M€ dans son résultat net, quand le groupe parvient, lui, à un résultat d'ensemble consolidé de 2,7 millions d'euros (pour 842,5 millions d'euros de chiffre d'affaires).