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Irrigation : « L’environnement doit en sortir gagnant »

Après l’annulation de l’arrêté fixant les niveaux de prélèvement de l'eau dans le marais poitevin et le bassin de la Charente, les agriculteurs sont dans l’attente. Interview de Guillaume Chamouleau, président régional des irrigants.

Guillaume Chamouleau, président régional des irrigants
Guillaume Chamouleau, président régional des irrigants
© A.V. - Photo d'archives.

Quelles sont les conséquences de l’annulation de l’arrêté ?
Guillaume Chamouleau, président d’Aquanide Poitou-Charentes : L’arrêté d’irrigation a été annulé avec un différé au 1er avril 2021 mais pas avec effet immédiat. L’État a fait appel de la décision et l’organisme unique de gestion collective Cogest’eau s’est joint à la procédure. On n’a pas de retour pour l’instant. Nous ne savons pas quand ce sera jugé. Nous avons demandé un sursis à l’exécution car faire appel n’est pas suspensif. Nous sommes dans l’attente avec des délais judiciaires qui ne correspondent ni tout à fait aux délais que nous pouvons avoir, ni comme réponse aux besoins des irrigants. L’objet de l’annulation est de laisser deux ans pour refaire un dossier et une étude d’impact pour faire une nouvelle demande et prendre un nouvel arrêté. Ce jugement ne nous paraît pas cohérent et dans ce contexte, nous n’avons pas de raison de changer notre regard et de mettre en route une nouvelle étude d’impact qui engendrerait des coûts importants difficilement supportables pour les irrigants. Pour nous, il est urgent nécessaire la suite du processus et d’avoir plus d’éléments.

Retrouvez l'article complet dans La Vie Charentaise de ce vendredi  7 février 2020, disponible en kiosques et sur abonnement.

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