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Implantation de protéagineux: des atouts... mais aussi des limites

Les protéagineux sont aujourd’hui remis sur le devant de la scène, dans l’idée de réduire la dépendance de la France face aux protéines végétales importées. Des agriculteurs de la Vienne, en agriculture de conservation des sols, donnent leurs impressions sur l’intérêt de ces cultures, et en particulier sur le pois d’hiver.

En juin dernier, une journée technique sur la conduite du pois d’hiver avait été organisée chez Aurélie Léger, à Saint-Georges-Lès-Baillargeaux.
© Guillaume de Werbier

Le Plan Protéines 2030 vise à assurer la souveraineté protéique de la France. Il comporte un important volet de recherche et développement confié notamment à Terres Inovia dans le cadre du programme Cap Protéines. L’objectif de ce dispositif est de donner aux agriculteurs les outils techniques nécessaires pour renforcer l’autonomie protéique à l’échelle des exploitations. C’est dans ce contexte que pour le pois d’hiver, des parcelles ont été mises en place et observées dans toute la France, chez des agriculteurs. Ainsi, cette année, la Chambre d’agriculture de la Vienne, en partenariat avec Terres Inovia, a suivi 10 parcelles de pois d’hiver, du semis (de fin octobre à début décembre 2021) à la récolte. Une partie des agriculteurs participant (appartenant aux GIEE du département centrés sur l’agriculture de conservation des sols, et accompagnés par la chambre d’agriculture), ayant implanté cette culture ou d’autres protéagineux, se sont retrouvés en fin de semaine dernière.

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