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Gestion des effluents viticoles : le casse-tête des exploitants

La maison Martell a organisé un colloque pour ses viticulteurs partenaires, présentant les différents systèmes de traitement des effluents phytosanitaires et vinicoles (machine à vendanger, chai et distillation). L’objectif : proposer un éventail de solutions et de témoignages adaptés à chaque situation.

Pour les effluents viti-vinicoles, pas de miracle : les solutions doivent se faire sur mesure, en fonction de l’exploitation.
Pour les effluents viti-vinicoles, pas de miracle : les solutions doivent se faire sur mesure, en fonction de l’exploitation.
© A.V.

La gestion des effluents viticoles est une question de plus en plus complexe, en particulier dans un contexte de recherche d’excellence environnementale et de mise en valeur des efforts faits sur la filière cognac.
Ces effluents prennent différentes formes : fonds de cuves, effluents phyto, eau de nettoyage du matériel… « Le contexte est en perpétuel changement », note Lætitia Four, responsable Développement durable au BNIC. Elle rappelle que « la filière a lancé un engagement stratégique que l’on retrouve dans les certifications Cognac et HVE. Plus de 60 % de surfaces sont déjà engagées dans ces démarches. La gestion des effluents viticoles est un gros volet. Il est important de maîtriser l’impact des exploitations sur l’environnement. » Le rejet des effluents viticoles est strictement interdit. Trois options sont possibles : le traitement en aire collective, la gestion à l’exploitation (par un prestataire ou en traitement individuel) ou à la parcelle. Cette dernière option est toutefois moins intéressante en termes d’image et de crédibilité.

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