Aller au contenu principal

Faire cohabiter ovins et photovoltaïque

La qualité du couvert à disposition est primordiale pour la réussite de ce type de projets.

© Gilles Saget, Idele

Si la construction de centrales solaires au sol sur terres agricoles est actuellement gelée dans le cadre des appels d'offres de la Commission de régulation de l'énergie, force est de constater que les éleveurs ovins sont de plus en plus sollicités pour faire pâturer leurs animaux et entretenir des parcs solaires au sol implantés sur des terrains dégradés, en zone naturelle, voire sur des terrains agricoles. La présence de panneaux soulève alors de nombreuses questions en matière de pousse de l'herbe et d'impacts sur la gestion du troupeau, du pâturage et du travail.

Globalement les premiers retours d’expérience montrent que l’élément déterminant dans la réussite d’un tel projet est la qualité du couvert qui va être mis à disposition et son accessibilité pour assurer un pâturage efficace par les animaux. Le couplage de l’activité de production d’énergie renouvelable et de la production agricole doit donc être réfléchi le plus tôt possible.

Des éléments de réponse aux questions que peuvent se poser les éleveurs sont disponibles dans une nouvelle plaquette « la production ovine sous panneaux photovoltaïques – ce qu’il faut savoir avant de se lancer ». Pour plus de détails, le guide pratique de « l’agrivoltaïsme appliqué à l’élevage ovin » est à la disposition des éleveurs et des développeurs de centrales solaires.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

Les recrutements concernent notamment des opérateurs de collecte, de juin à fin juillet.
Le recrutement des saisonniers est lancé

Terrena, Océalia et Cérience ont lancé il y a déjà quelques jours leurs opérations recrutement à travers les premières…

Tom et Didi Hawkins ont repris la supérette de Bouresse, ouverte tous les jours, sauf le mardi de 8 h à 13 h et de 15 h 30 à 19 h 30. Le dimanche de 8 h à 12 h.
Ouverture de commerces à Bouresse et Leigné-les-Bois

Lors des vœux des maires de début d'année, leur arrivée était signalée comme des "bonnes nouvelles". Les supérettes de…

Julien Dupuis, de l'Earl la Mardière, aux côtés de sa génisse Parthenaise ayant remporté le prix de championnat du concours. Elle a été achetée pour la boucherie du Leclerc d'Azay-le-Brûlé.
Concours de boucherie de Saint-Maixent : les ventes en petite forme

Les ventes atones lors de la foire de Saint-Maixent-l'École, le 11 avril, ont confirmé la tendance observée lors des derniers…

16 étudiants en BTS ACSE de Venours ont participé au projet.
Les lycéens à la découverte des Pays Bas
16 élèves du lycée de Venours vont réaliser le mois prochain un voyage vers les Pays-Bas. Au programme, un peu de tourisme, et…
Le camion Christelle Berthonneau s'appelle Sereine. Elle va à la porte de ses clientes ou s'arrête sur la place des villages.
Ces services qui viennent à notre porte
Certains commerçants ont décidé d'arpenter les routes de nos campagnes pour amener certains services à la porte de leurs clients.
Romain Pétorin, Nathan Groussard, Gwenaëlle Richard, Elena Morillon et Aurélien Lys autour du diorama des deux premiers.
Le modélisme agricole s'expose à Migré

Ce dimanche 27 avril, une quinzaine de passionnés exposeront leurs réalisations de modélisme agricole à Migré.

Publicité