Aller au contenu principal

Coopération
Eau et environnement : les priorités de Coop de France

Coop de France tenait son assemblée générale il y a quelques jours. L’occasion de rappeler l’importance de la coopération au sein de l’agriculture et de la région de façon générale.

Yvette Thomas, présidente de Coop de France Poitou-Charentes, a redit  les priorités de la coopération.
Yvette Thomas, présidente de Coop de France Poitou-Charentes, a redit les priorités de la coopération.
© DR

Devenue Coop de France Poitou-Charentes en fin d’année dernière, la Fédération régionale   des coopératives agricoles a gardé les mêmes objectifs : permettre à ses adhérents de s’adapter au mieux au contexte réglementaire, social, économique, commercial ou environnemental. Un travail essentiel dans une région agricole où 60% de la production est collectée par les quelque 98 coopératives et leurs 126 filiales. En ajoutant à ces chiffres les 580 Cuma, le chiffre d’affaires de la coopération régionale atteint 3,5 milliards d’euros, et représente 7600 salariés et 20 000 exploitations. Pour l’année 2011, les grands chantiers de Coop de France restent l’eau et l’environnement, à travers divers chantiers entamés il y a plusieurs mois déjà. « Nous nous efforçons de trouver les meilleures solutions pour accompagner nos adhérents face, bien sûr aux marchés volatiles actuels, mais aussi aux conditions climatiques catastrophiques » reconnaît Yvette Thomas, présidente de Coop de France Poitou-Charentes. Un travail d’appui aux études préalables nécessaires pour les rentenues de substitution est en effet engagé depuis plusieurs mois. « La préservation de l’irrigation représente un atout important pour l’agriculture régionale, en valeur ajoutée et en emplois, comme en possibilités de diversification  et d’adaptation des systèmes agricoles et des productions. » De nombreuses autres actions  en faveur de l’environnement ont également été engagées : récupération des déchets d’exploitation, accompagnement  de la démarche Ecophyto 2018 et actions autour de l’utilisation des produits phytosanitaires,  actions sur la qualité hygiène sécurité environnement, utilisation de la biomasse ou travail autour de l’outil 3D (destination développement durable). Plusieurs plans de formation, destinés à la fois aux administrateurs des coopératives et aux salariés, ont été menés et seront reconduits.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

La petite dernière de chez New Holland, la CR 11 a été présentée, jeudi 27 juin, à Essouvert.
La CR 11 en démonstration

Les Établissements Chambon ont invité 200 clients, à venir voir la toute dernière moissonneuse batteuse de New Holland, la…

Thomas (à droite) a passé du temps avant le parrainage avec les deux frères Mimault pour prendre la relève de François.
À L'Absie, le temps a œuvré pour nouer la relation cédant-futur installé

Au Gaec La Jolinière, un nouveau duo d'associés a vu le jour depuis le 1er mai : Thomas Moigner a rejoint Christophe…

La moissonneuse de l'ETA Poussard, de Villiers-en-Plaine, dans une "belle" parcelle d'orge à 65 q/ha.
Moissons en Deux-Sèvres : petite récolte en vue

Les premiers hectares battus en Deux-Sèvres en orge et en colza montrent des rendements hétérogènes, à tendance basse, et une…

D'immenses chapiteaux jalonnent la vallée derrière la mairie de Saint-Martin.
Village de l'eau : méli-mélo de luttes sous chapiteaux

Le Village de l'eau a pris ses quartiers à Saint-Martin-lès-Melle le 16 juillet. Il rassemble des militants de luttes diverses…

Le système de coupe tronçonneuse est une pince Vosch 2000 force 52 KN guide de 80 cm.
Du nouveau à la Cuma du Bocage

Plus de prestations grâce à de nouveaux matériels : 300 000 € ont été investis par cette Cuma des environs de Bressuire.

Les premières collectes françaises de blé tendre montrent des rendements inférieurs de 11 % à la moyenne décennale.
Pas assez de blé pour les agriculteurs

Le blé tendre ne fait pas exception à la mauvaise année céréalière, avec une estimation de rendement moyen à 64 q/ha.

Publicité