Aller au contenu principal

Des systèmes qui doivent rester cohérents

Cohérence, investissements, productivité des brebis sont autant de critères à respecter pour réussir en élevage ovin viande.

Le choix de système doit être adapté aux particularités de l’exploitation afin de limiter la dépendance aux achats de concentrés notamment.
Le choix de système doit être adapté aux particularités de l’exploitation afin de limiter la dépendance aux achats de concentrés notamment.
© N.C.

«La première règle à suivre lorsque l'on monte un élevage ovin viande est d'avoir un système cohérent avec le milieu. L'orientation en bergerie ou en herbager doit se raisonner en fonction de la structure, de la surface disponible et de son potentiel. En système intensif, le chargement doit être supérieur à 12 brebis par hectare de surface fourragère principale et l'exploitation doit disposer d'un potentiel en maïs ensilage et/ou en cultures.


En système herbager, le chargement par hectare de SFP doit être inférieur à 10 brebis et le parcellaire adapté au pâturage », note Vincent Bellet, de l'institut de l'élevage, lors d'une conférence au Space à Rennes. « Un décalage entre le niveau de production et la structure peut entraîner une forte dépendance aux achats de concentrés. » Pour être cohérent avec le milieu, les choix doivent être réfléchis en fonction des périodes de vente, du type génétique, du système d'alimentation…

Plus d'infos dans le journal Agri 79 du 14 octobre 2016

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

Tom et Didi Hawkins ont repris la supérette de Bouresse, ouverte tous les jours, sauf le mardi de 8 h à 13 h et de 15 h 30 à 19 h 30. Le dimanche de 8 h à 12 h.
Ouverture de commerces à Bouresse et Leigné-les-Bois

Lors des vœux des maires de début d'année, leur arrivée était signalée comme des "bonnes nouvelles". Les supérettes de…

Julien Dupuis, de l'Earl la Mardière, aux côtés de sa génisse Parthenaise ayant remporté le prix de championnat du concours. Elle a été achetée pour la boucherie du Leclerc d'Azay-le-Brûlé.
Concours de boucherie de Saint-Maixent : les ventes en petite forme

Les ventes atones lors de la foire de Saint-Maixent-l'École, le 11 avril, ont confirmé la tendance observée lors des derniers…

16 étudiants en BTS ACSE de Venours ont participé au projet.
Les lycéens à la découverte des Pays Bas
16 élèves du lycée de Venours vont réaliser le mois prochain un voyage vers les Pays-Bas. Au programme, un peu de tourisme, et…
Le camion Christelle Berthonneau s'appelle Sereine. Elle va à la porte de ses clientes ou s'arrête sur la place des villages.
Ces services qui viennent à notre porte
Certains commerçants ont décidé d'arpenter les routes de nos campagnes pour amener certains services à la porte de leurs clients.
Romain Pétorin, Nathan Groussard, Gwenaëlle Richard, Elena Morillon et Aurélien Lys autour du diorama des deux premiers.
Le modélisme agricole s'expose à Migré

Ce dimanche 27 avril, une quinzaine de passionnés exposeront leurs réalisations de modélisme agricole à Migré.

Dans l'équipe de Théon Innovation, des associés fondateurs, Nicolas Bentz et Aurélia Flèche (à gauche) de la banque d'affaires énergie Adenfi. Xavier Guillot, responsable de la division agronomie et scientifique (à gauche au second plan). À droite, Philippe Moreau, fondateur de Théon Innovation, Dominique Clément, consultant et Mohamed Madani, ingénieur.
"L'agrivoltaïsme doit créer un nouvel atelier "

La proposition de loi sur l'agrivoltaïsme, déposée par le député de la Vienne, Pascal Lecamp, a été adoptée par la Commission…

Publicité