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Colloque Dephy : Moins de phytos, mais seulement si le marché suit

Établir de nouvelles références, partager les données, et être résilients. Ce sont trois des points abordés lors de la table ronde du colloque régional Dephy.

© Alexandre Veschini - Capture d'écran

Le colloque régional Dephy a permis aux acteurs de débattre des solutions et des contraintes de la réduction des phytos en grandes cultures, polyculture-élevage. La conclusion de la matinée d’échanges, le 8 décembre au lycée de l’Oisellerie à La Couronne, a été donnée lors de la table ronde.« Quand on parle d’Ecophyto, le maître mot est d’y aller en douceur », a indiqué en préambule Benjamin Bichon, codirecteur de la coopérative La Tricherie (86), qui compte 300 adhérents, essentiellement en grandes cultures. Une transition entamée dès 1992. « L’objectif, c’était de permettre de garder de la valeur pour nos productions. La solution doit venir de la filière. Pour retrouver de la valeur, il faut s’assurer qu’il y a un marché, mesurer la capacité du consommateur à suivre cette évolution. Nous avons été les premiers dans la HVE mais il nous a fallu sept ans pour trouver un marché. »Christian Daniau, vice-président de la Chambre régionale d’agriculture de Nouvelle-Aquitaine et président de la commission Productions végétales, rappelle qu’« un plan filière est en cours d’écriture sur la région pour aller de la recherche à la communication, en passant par la recherche de marchés. » Et de citer le plan Protéines : « Il a été réfléchi par la filière. Les dossiers avancent, il y a des projets de financement mais aussi une structuration de la filière. »

Retrouvez la suite de l'article dans La Vie Charentaise du vendredi 12 décembre 2021, disponible en kiosque et sur abonnement.

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