Aller au contenu principal

Chez Rémy Martin, il y a plus durable que la crise

Affectée dans son activité et ses ventes par la crise du coronavirus, la maison Rémy Martin voit des raisons d’espérer avec son positionnement. Elle est très engagée pour « l’exception durable ».

Baptiste Loiseau, maître de chai chez Rémy Martin.
Baptiste Loiseau, maître de chai chez Rémy Martin.
© Rémy Martin

Deux ans d’avance : c’est ainsi que l’on peut résumer la performance de Rémy Martin et de ses partenaires viticulteurs puisque dès 2020 le seuil de 50 % d’exploitations certifiées HVE (Haute Valeur Environnementale) est atteint alors qu’il était programmé pour 2022.
Autre bonne nouvelle en ces temps qui les rendent précieuses, 100 % des partenaires (près d’un millier de viticulteurs de Grande et Petite Champagne) sont désormais engagés dans une démarche d’agriculture raisonnée et d’amélioration continue.
« La maison Rémy Martin est devenue de fer de lance de l’engagement environnemental dans la région », s’enthousiasme le directeur général Philippe Farnier, « puisque 85 % des exploitations certifiées HVE sur les deux départements charentais sont partenaires de la Maison et de l’Alliance Fine Champagne. » Et de poursuivre : « Grâce à notre engagement historique et pionnier, nous contribuons à l’effort collectif, les Charentes (259 exploitations de la filière cognac sont certifiées HVE et non des moindres) montrent l’exemple, l’objectif gouvernemental est d’atteindre 15 000 exploitations certifiées en France d’ici 2022. On en dénombre plus de 4 500 aujourd’hui. »

Comme une évidence

« Il y a 13 ans, nous avons fait le choix ambitieux et avant-gardiste à l’époque d’une agriculture raisonnée », explique le maître de chai Baptiste Loiseau, « et avec nos partenaires de l’AFC, nous nous sommes engagés pour la certification HVE délivrée par le ministère de l’Agriculture qui récompense ce que l’on peut appeler l’excellence agricole. » Chez Rémy Martin, favoriser la biodiversité du terroir et protéger les sols de Grande et Petite Champagne est donc devenu une évidence que la Maison vient de baptiser de l’appellation « l’Exception Durable » : un cadre de développement sur le long terme, respectueux de son environnement, qui permet de concevoir un produit exceptionnel… qui rassure un consommateur devenu de plus en plus sensible à ces questions.

 

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

L'atelier des 6 Vallées réunit des producteurs de la Vienne et des Deux-Sèvres.
L'Atelier des Vallées prend forme
L'atelier collectif de découpe et de transformation de produits locaux des Vallées devrait voir le jour début 2026 à Coulombiers…
Baptiste Conreaux amène les commandes de fruits, légumes, jus et œufs à la porte de ses clients.
Des produits locaux livrés à domicile

Si la demande de livraison de fruits et légumes locaux était forte pendant la crise sanitaire, elle s'est bien estompée ces…

Laurette Didière vient de créer son agence Charentes In Flow.
Découverte touristique sur-mesure des Charentes
Laurette Didière créé une agence de tourisme réceptive : Charentes In Flow.
La Chambre d'agriculture de Charente (représentée par son président Christian Daniau) a porté le dossier pour tout le Poitou-Charentes. Aux manettes : le service Environnement, dirigé par Audrey Triniol.
La MAEC zone intermédiaire financée en intégralité
Tous les agriculteurs éligibles à la mesure agro-environnementale et climatique "zone intermédiaire en Poitou-Charentes", qui en…
Guillaume Roux et Cassandra Bœuf veillent sur leurs escargots.
Nouveaux anges gardiens pour les cagouilles
Cassandra Bœuf et Guillaume Roux ont repris la Cagouille charentaise, à Mons. L'exploitation hélicicole va déménager dans les…
Il manque un quart de sole de cultures d'hiver, qui n'ont pas pu être semées en Gâtine, et en plaine, les parcelles argilo-calcaires ont noyé par endroits.
"Si la collecte atteint 60 % d'une année standard, ce sera bien "

Les conditions climatiques ont chamboulé les plans d'assolement traditionnels. Ce début de printemps voit un potentiel de…

Publicité