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ACPEL : moins d’argent pour l’expérimentation

L’association Charentes-Poitou d’expérimentation légumière était en assemblée générale la semaine dernière au lycée agricole de Thuré (86). Après la fusion des régions Aquitane, Limousin et Poitou-Charentes, elle réfléchit à une nouvelle organisation.

Après l’assemblée générale, les adhérents de l’Acpel ont découvert le Pôle de formation Nat’Thuré Végétal, nouvel adhérent de l’association.
Après l’assemblée générale, les adhérents de l’Acpel ont découvert le Pôle de formation Nat’Thuré Végétal, nouvel adhérent de l’association.
© Guillaume de Werbier

« En un an, le contexte de l’expérimentation fruits et légumes en France a bien changé. Certains questionnements se posent avec plus d’acuité, de nouveaux enjeux sont apparus. » La tâche n’est pas mince pour Tony Thibault, président de l’Acpel (association Charentes-Poitou d’expérimentation légumière), qui doit revoir la stratégie de sa structure.
La création de la nouvelle région n’est pas sans conséquences sur l’association. « Nous réfléchissons en ce moment à l’articulation, aux collaborations possibles avec nos collègues et partenaires que sont Invenio », indique Tony Thibault.


Partenariat renforcé


L’Acpel travaille déjà avec ce centre de recherche et d’expérimentation de la filière fruits et légumes d’Aquitaine. « Nous som­­- mes complémentaires », précise Jean-Michel Lhote, responsable technique à Acpel. « Nous som­mes spécialisés dans le melon, le maraîchage diversifié, et, depuis 20 ans, dans le maraîchage bio. De son côté, Invenio est un centre de recherche important pour la fraise, l’asperge et la carotte et la pomme du Limousin. La station dispose aussi d’un pôle mécanisation. »
Les deux entités ne sont pas concur­rentes, confirme le président de l’Acpel, « c’est pourquoi, pour garder des pôles attractifs en périphérie de cette grande région géographique, il existe une place pour une station proche du terrain comme la nôtre. Il s’agit maintenant de rechercher les formules pour assurer un bon partenariat entre nos structures réciproques ».

Lisez la suite de cet article dans la Vie Charentaise du 1er avril 2016 (page 7)

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