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Abeilles : le potentiel nectarifère des cultures en question

Depuis plusieurs années, la production de miel diminue sur le territoire. Une baisse qui conduit à s’interroger sur la quantité de nectar disponible pour les abeilles, en fonction des variétés cultivées, par exemple.

Pour produire du miel et constituer des réserves pour l’hiver, les abeilles ont besoin de nectar.
Pour produire du miel et constituer des réserves pour l’hiver, les abeilles ont besoin de nectar.
© Chambre d’agriculture de Charente Maritime

Pour produire du miel et constituer des réserves pour l’hiver, les abeilles ont besoin de nectar. Dans le département, « aucun élément paysager présent ne peut rivaliser avec le colza et le tournesol. Ces deux grandes cultures produisent aux environs de 500 kg de nectar par semaine autour d’un rucher », souligne Jean-François Odoux, ingénieur d’étude à l’Inra le Magnereau.
Ces productions constituent donc un vrai enjeu pour les apiculteurs, en particulier le tournesol, dont les surfaces cultivées sont plus importantes, et qui permet d’assurer la dernière miellée avant l’hiver. Pourtant, chaque année, les rendements de miel diminuent.
De nombreuses hypothèses font aujourd’hui l’objet d’études pour comprendre les raisons de cette baisse. Parmi elles, l’idée selon laquelle la création de nouvelles semences plus résistantes aux maladies et plus riches en huile pourrait occasionner une baisse de la fréquentation des abeilles, voire de la production de nectar.

A lire la suite dans Agri 79 du 3 août.

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