Aller au contenu principal

« 2/3 des Français ne sont pas réfractaires à consommer du lapin »

Face à une consommation en baisse, les acteurs de la filière cunicole n’ont d’autre choix que de faire preuve de pertinence. Loeul et Piriot, leader européen de la viande de lapin, a revu sa stratégie commerciale.

Matthieu Loeul, directeur commercial, a fait de la montée en gamme de ses produits un axe de développement. Mais l’augmentation des ventes passe aussi par une meilleure visibilité, dans les rayons des supermarchés mais aussi dans la restauration hors domicile.
Matthieu Loeul, directeur commercial, a fait de la montée en gamme de ses produits un axe de développement. Mais l’augmentation des ventes passe aussi par une meilleure visibilité, dans les rayons des supermarchés mais aussi dans la restauration hors domicile.
© Loeul et Piriot

«L’essor de la famille lapin passera aussi par nous ». Derrière ce « nous » se trouve l’entreprise familiale Loeul et Piriot, leader de la viande de lapin. Conscient de la responsabilité qui est la sienne à l’égard des acteurs qui composent la filière cunicole, mais également convaincu, dans le petit monde qui est le sien, que l’avenir n’appartiendra qu’à ceux qui se retroussent les manches, Loeul et Pirot, il y a un an déjà, a fait un travail de fond pour repositionner sa marque.

« 2/3 des Français ne sont pas réfractaires à la consommation de lapin. La moitié de ces consommateurs potentiels en achètent deux à trois fois par an. L’autre moitié en consomme chez des amis ou hors domicile. Cette réalité est pour nous une bonne nouvelle. Notre développement est donc conditionné à notre capacité à travailler l’offre, le visuel et notre visibilité en magasin », avance Matthieu Loeul, directeur commercial.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Caracterres.

Les plus lus

La petite dernière de chez New Holland, la CR 11 a été présentée, jeudi 27 juin, à Essouvert.
La CR 11 en démonstration

Les Établissements Chambon ont invité 200 clients, à venir voir la toute dernière moissonneuse batteuse de New Holland, la…

Thomas (à droite) a passé du temps avant le parrainage avec les deux frères Mimault pour prendre la relève de François.
À L'Absie, le temps a œuvré pour nouer la relation cédant-futur installé

Au Gaec La Jolinière, un nouveau duo d'associés a vu le jour depuis le 1er mai : Thomas Moigner a rejoint Christophe…

La moissonneuse de l'ETA Poussard, de Villiers-en-Plaine, dans une "belle" parcelle d'orge à 65 q/ha.
Moissons en Deux-Sèvres : petite récolte en vue

Les premiers hectares battus en Deux-Sèvres en orge et en colza montrent des rendements hétérogènes, à tendance basse, et une…

D'immenses chapiteaux jalonnent la vallée derrière la mairie de Saint-Martin.
Village de l'eau : méli-mélo de luttes sous chapiteaux

Le Village de l'eau a pris ses quartiers à Saint-Martin-lès-Melle le 16 juillet. Il rassemble des militants de luttes diverses…

Le système de coupe tronçonneuse est une pince Vosch 2000 force 52 KN guide de 80 cm.
Du nouveau à la Cuma du Bocage

Plus de prestations grâce à de nouveaux matériels : 300 000 € ont été investis par cette Cuma des environs de Bressuire.

Les premières collectes françaises de blé tendre montrent des rendements inférieurs de 11 % à la moyenne décennale.
Pas assez de blé pour les agriculteurs

Le blé tendre ne fait pas exception à la mauvaise année céréalière, avec une estimation de rendement moyen à 64 q/ha.

Publicité