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Les gros volumes de lisier dans des fosses de plus de 2 000 m3

Les constructions de fosses à lisier de bovins de plus de 2000 m3 doivent s’accompagner d’un certain nombre de précautions car la gestion de ces gros volumes peut rapidement devenir problématique.

Les malaxeurs fixes restent peu présents en fosse extérieure, la faute à un coût élevé. La majorité des éleveurs utilisent donc des malaxeurs tracteurs en Cuma.
Les malaxeurs fixes restent peu présents en fosse extérieure, la faute à un coût élevé. La majorité des éleveurs utilisent donc des malaxeurs tracteurs en Cuma.
© N.C.

Les experts du groupe régional bâtiments bovins des chambres d’agriculture se sont penchés sur la question de la construction de grandes fosses à lisier et ont lancé une étude depuis le début de l’année. L’objectif est de mettre en avant les facteurs de réussite pour optimiser la gestion des gros volumes de lisier au transfert entre bâtiment et ouvrage de stockage des déjections mais aussi au sein de la fosse lors du malaxage, au niveau du pompage et jusqu’à l’épandage.
La limite des 2 000 m3 n’est pas arbitraire. Elle correspond à une vraie limite technique au-delà de laquelle des précautions doivent être prises pour assurer un bon fonctionnement. Elle correspond à un bâtiment logettes de plus de 100 places de vaches laitières, géré en 100 % lisier (moins de 1 kg de paille broyée/VL/J ou 550 g de sciure).

Le malaxage dans les fosses
Dans nos enquêtes, les élevages utilisant la paille comme matériau de litière sont majoritairement concernés par des problèmes lors du malaxage (90 %). Il y a une forte proportion d’élevages avec fosse en bout de couloirs de raclage (pas de transfert par pompe ni caniveaux).

Plus d'infos dans le dossier bâtiments du journal Agri 79 du 7 octobre 2016

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